Fredi Casco et Fernando Allen, Alice Brygo, Marcos Àvila Forero, Esmeralda Da Costa, Maria Laet, Glenda León, Sujin Lim, Violaine Lochu et Sara Bichão, Nefeli Papadimouli, Abel Rojo et Edgar Ariel, Moussa Sarr, Samuel Suffren, Capucine Vever, Zohreh Zavareh
Commissaires : Madeleine Filippi et Claire Luna
Films et vidéos – L’exposition est composée exclusivement de vidéos et de films. Ils seront projetés ou visibles sur moniteurs télé, pourront prendre la forme d’installation, voire pour certain, d’une projection d’images mentales qui fonctionnera comme une pérégrination sonore.
Habiter la maison – Les curatrices ont souhaité habiter la maison, avec une scénographie qui présente des œuvres dans ses caves, à l’entrée, en haut dans le placard, au point de sortir des murs de la maison Ange Leccia, puisque à certaines heures, on pourra peut être voir apparaître une film sur la maison d’en face.
Une scénographie par vague – La scénographie est mouvante jusque dans son contenu : en effet, selon les heures de visite, le public découvrira un parcours de films/vidéos différent. L’expérience est unique, les programmations non fixes. Les plus rigoureux.ses pourront visionner en ligne sur le site de la Casa Conti les films/vidéos qui leur auront échappé le temps de l’exposition.
L’horizon est multiple – Les artistes viennent de Grèce, Paraguay, Brésil, Haïti, Iran, Corée, France – Corse, Sénégal, Australie, Colombie (œuvre réalisée entre la frontière algérienne et l’enclave espagnole de Melilla), Portugal et Cuba (les 2 artistes cubain.es vivent en Espagne comme beaucoup de Cubain.es. C’est aussi ça la Méditerranée : elle draine ses anciennes colonies. L’archipel est infini.).
Vues d’exposition : Lea Eouzan-Pieri